Affichage des articles dont le libellé est Entraînement. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Entraînement. Afficher tous les articles

mercredi 24 janvier 2018

4 choses que vous ne faites pas et qui vous feront progresser

Nageurs confirmés, triathlètes, voici quelques conseils pour vous aider à continuer à progresser :

https://www.leguideducrawlmoderne.com/perfectionnement/4-choses-que-vous-ne-faites-pas-et-qui-vous-feront-reellement-progresser/


samedi 14 novembre 2015

La technique en virage en images

Sur cette vidéo, la belle technique de Steve Meredith en virage:




On peut remarquer :
- la puissance de sa projection (le bruit de l'impact est impressionnant),
- son excellent hydrodynamisme,
- la rotation du corps qui survient très tard après la projection du mur,
- la force de son ondulation
- et quel souffle !

Bonne nage !


mardi 23 septembre 2014

Bien se nourrir et au bon moment avant et après aller nager

S'entraîner en semaine oblige le plus souvent à nager soit tôt le matin, soit à l'heure du déjeuner, soit en fin de journée. Malheureusement, ce sont exactement les moments où l'estomac crie famine !

Pour améliorer le confort et le rendement de sa séance et de sa journée de travail, il est donc important d'arriver à trouver la bonne manière et le bon moment de se nourrir. 
Cela devient vite la quadrature du cercle et chaque nageur, à force, développe ses propres trucs qui fonctionnent plus ou moins bien.  
La natation a cela de particulier qu'elle est très consommatrice de calories et qu'elle se pratique dans une position horizontale (voire même parfois en culbutes), ce qui n'est pas idéal pour l'estomac. 
N'étant pas moi-même spécialiste des questions de nutrition, j'ai demandé les conseils du Dr. Fabrice Kuhn, spécialiste dans le domaine. Fabrice est médecin, triathlète et traileur et surtout co-auteur des livres "La nutrition de l'endurance" et "L'assiette de l'endurance - 101 recettes spécial performance".
 

Avec lui, j'ai pu évoquer les trois scénarios du nageur durant sa semaine de travail :

S: Fabrice, quels sont vos conseils de nutrition pour les nageurs dont l'entraînement est tôt le matin?


Dr. F.K. : le premier conseil est est surtout de ne pas trop boire le matin pour ne pas trop chargé l'estomac, pour cela mieux vaut être bien hydraté la veille
Concernant la prise d'aliments, le nageur a le choix suivant son confort personnel : soit ne rien manger avant d'aller nager (ce qui peut convenir en particulier si la séance n'est pas trop longue et pas trop intense), soit manger légèrement un mélange de protéines et de sucres lents (par exemple, du pain avec un peu de jambon). Il faut éviter de surcharger le ventre. La portion sera donc petite. Il faut éviter les aliments propices au reflux gastrique (jus d'orange par exemple).

Si la séance est intense, prendre une boisson énergétique durant la séance peut être utile. On peut utiliser un boisson de l'effort ou bien se préparer une boisson maison en mélangeant jus de raisin, eau et maltodextrine (recette du livre "assiette de l'endurance") ou encore plus simple 100 ml de jus de raisin pour 400 ml d'eau (recette correcte car isotonique mais pas idéale pour une compétition ou une grosse séance car trop peu riches en glucides). On peut boire tous les 1/4 h une gorgée ou 2. Le but étant l'apport en glucides et non l'hydratation.
Après la séance, vous prendrez votre petit déjeuner : si vous n'avez pas le temps de vous poser dans votre cuisine ou dans un café, vous pouvez prendre une banane (facile à transporter, calorique et alcalinisant) et une portion de gâteau-sport fait maison. Je propose dans mes livres des recettes pour de tels gâteaux). L'important est que la ration apporte à la fois des glucides mais aussi des protéines (oeufs) et aussi des fruits (fibres, vitamines, alcalinisants...). On recommande en général 50 g  de glucides ou bien 1 g de glucides/kg de poids de corps en 1h, sans oublier une eau pour se réhydrater, idéalement pétillante pour faire le plein de bicarbonates
S: Quels sont vos conseils de nutrition pour les séances à l'heure du déjeuner?

Dr. F.K.: Si la séance a lieu dans un créneau de moins de 4h après le petit déjeuner, il ne doit pas être nécessaire de manger avant, sauf si le petit déjeuner n'a pas été assez calorique. Il faut veiller à boire régulièrement durant la matinée, par petite quantité pour garder l'organisme bien hydraté. (NDLR: le café et le thé sont des diurétiques qui justement n'aident pas à garder le nageur bien hydraté). 
Si la séance est intense et longue, une boisson énergétique pourra être utile. 
Si la séance a lieu plus de 4h après le petit déjeuner, la solution idéale est de prendre un snack au moins 2 heures avant d'aller nager (par exemple des fruits secs, des noix, amandes, fruit frais...). Il faut éviter de manger moins de 2 heures avant sa séance, afin d'éviter la sensation de perte d'énergie souvent liée à la phase de digestion de l'organisme. Après la séance, le nageur devra faire le plein de calories ; l'idéal est d'avoir sur lui les aliments adéquates (banane ou autre fruit (frais ou sec), gâteau sport fait maison..) pour prendre suffisamment de sucres lents et de protéines.

La solution sandwich n'est pas idéale car ce sont souvent beaucoup de pain pour peu de légumes et peu de viande. Il est préférable d'avoir un repas facile à transporter (taboulé de quinoa au saumon fumé par exemple ou encore salade de patate douces froides avec jambon)
.

S: Quels sont vos conseils de nutrition quand on nage en fin de journée?

Dr. F. K.: on peut appliquer à peu près les mêmes conseils que pour la séance du midi: si la séance a lieu dans un créneau de moins de 4h après le déjeuner, il ne doit pas être nécessaire de manger avant. Il faut veiller à bien s'hydrater pendant l'après-midi. Si la séance est intense et longue, une boisson énergétique pourra être utile. Si la séance a lieu plus de 4h après le déjeuner, la solution idéale est de prendre un goûter au moins 2 heures avant d'aller nager (par exemple des fruits secs, des noix, amandes, fruits frais ...).

L'hyperméabilité intestinale risque de provoquer un coup de barre après le repas. Cela arrive fréquemment en cas d'effort soutenu ; l'intestin ne peut plus bien fonctionner du fait de la redistribution sanguine liée à l'effort. Pour éviter ce phénomène, il est recommandé de boire un peu pendant l'effort une boisson glucidique type boisson de l'effort.

Merci Fabrice!
NDLA : en cas de scénario "catastrophe", où finalement la séance a lieu plus de 4h après le petit déjeuner ou le déjeuner et que vous n'avez pas pu ou penser manger plus de 2 heures avant, ma solution de secours est de manger un tout petit peu juste avant la séance pourra permettre de limiter les dégâts. Il n'est pas inutile d'avoir alors une barre énergétique sous la main: Overstims m'a permis d'en tester des sympas (avec une préférence pour la barre Bio banane/datte). Attention toutefois, en cas de barre énergétique bien sucrée ou du distributeur automatique de la piscine et ses barres "junk food", il faut la manger juste avant de rentrer dans l'eau - "oui, je sais, on ne peut pas manger dans les vestiaires!" Si vous laissez ne serait-ce qu'un quart d'heure entre l'ingestion de sucres rapides et l'effort, vous risquez de ressentir un vrai coup de barre au moment de nager. Si la prise de sucres est concomitante ou quasiment avec le début de l'effort, ce phénomène de coup de barre ne devrait pas avoir lieu. 


Pour beaucoup plus d'informations sur ce sujet et des recettes, je vous renvoie évidemment aux livres du Dr. Fabrice Kuhn.

dimanche 24 novembre 2013

FAQ : "SWOLF" ? Vous avez dit "SWOLF" ?



Le SWOLF SCORE est la contraction de "Swim Golf". La plupart des modèles de montres natation possèdent maintenant cette fonction intégrée (Finis, Garmin, Poolmate...) et on présente cet indicateur comme l'indicateur de l'efficacité en natation. Est-ce réellement le cas ?

1- Comment calculer son SWOLF SCORE ? 

Si vous ne possédez pas ce genre de montre, pour obtenir votre SWOLF SCORE, il vous suffit d'ajouter votre nombre de coups de bras au temps par seconde pour une distance de 50 mètres (c'est la distance généralement adoptée pour calculer le SWOLF SCORE).

Ainsi, le nageur qui nagera 50 mètres en 45'' avec 40 coups de bras aura un score égal à 45+40 = 85. Un nageur qui nagera cette même distance en 40" avec 42 coups de bras aura un score légèrement meilleur : 40+42 = 82. Un nageur qui nagera plus lentement, par exemple en 43", mais avec 38 coups de bras aura lui un meilleur score; : 43+38 = 81.

Attention d'ailleurs avec les montres citées (Garmin, Finis...) car elles calculent le nombre de coups de bras sur la base d'un seul bras; ainsi, suivant la main sur laquelle vous portez la montre, le SWOLF SCORE pourra ne pas être totalement exact.

2- L'intérêt du SWOLF SCORE

En natation, l'amplitude reste l'un des facteurs déterminants de la performance à quelques exceptions toutefois. Le SWOLF SCORE, prenant en compte à la fois l'amplitude et la performance chronométrique, permet de faire travailler le nageur vers une nage à meilleur rendement. Ainsi, si un nageur gagne 2'' au 50m mais doit pour cela faire 3 cycles de bras de plus, aura-t-il véritablement améliorer l'efficacité de sa nage ? Sans doute pas et il n'aura pas amélioré son SWOLF SCORE.

Chercher à améliorer son SWOLF SCORE plutôt que sa seule performance chronométrique va obliger le nageur à parfaire sa technique de nage. C'est surtout vrai pour le nageur qui possède des défauts techniques : ainsi, il est probable qu'il ait une marge de progression importante dans son SWOLF SCORE. En s'obligeant à réduire son nombre de coups de bras, sans toutefois nager moins vite par exemple, il va être obligé de mieux nager (c'est l'approche de la méthode de Natationpourtous par exemple et je vous renvois vers son livre pour plus de détails).

Pour le nageur qui possède déjà une bonne technique, le SWOLF SCORE peut aussi être utile à trouver le meilleur rapport fréquence/amplitude. Pour cela, il faut demander au nageur de nager chaque longueur en modifiant son nombre de coups de bras d'un coup de bras et de mesurer son SWOLF SCORE. On va trouver normalement une forme en U si on compare le SWOLF SCORE entre chaque 50 m (on met sur un graphe pour chaque longueur un point ayant pour ordonnée le SWOLF SCORE et pour abcisse le nombre de coups de bras), c'est à dire que le SWOLF SCORE va diminuer et ensuite augmenter : le nageur pourra alors constater que son meilleur SWOLF SCORE se situe avec une amplitude de X mouvements de bras avec + ou - 1 mouvement de bras. Si le nageur varie plus par rapport à ce nombre X de mouvement (que ce soit en augmentant le nombre de coups ou bien en le diminuant), son SWOLF SCORE sera moins bon. 

Il sera alors intéressant de comparer ce résultat avec le ressenti du nageur. Est-ce que le nageur se sent le mieux lorsqu'il nage avec la fréquence lui donnant le meilleur SWOLF SCORE ? Ce n'est pas forcément le cas en fait car le SWOLF SCORE donne un avantage aux grands nageurs. Pour les nageurs de taille moyenne ou petite, il peut être intéressant de pondérer le SWOLF SCORE en ne comptant non pas les coups de bras mais les cycles de bras. Avec cette pondération, on peut constater une meilleure corrélation pour certains nageurs entre le ressenti du nageur et le SWOLF SCORE. Pour plus d'infos, je vous renvoie au lien en bas de l'article (site en anglais).

 3- Les limites du SWOLF SCORE

Le SWOLF SCORE n'est pas un outil de comparaison entre nageurs mais plutôt un outil de progression personnelle.

Pourquoi ? car le SWOLF SCORE va indéniablement privilégier les nageurs à forte amplitude (ou éventuellement à puissants battements) et donc très logiquement les nageurs les plus grands et les plus longilignes par rapport aux plus petits gabarits  D'ailleurs, le recordman du SWOLF SCORE serait Alexander Popov avec un score de 45 (20 coups de bras pour 25 secondes...sur 50 mètres bien sûr !!).

Comme l'explique Evan Morrisson, pour prendre deux extrêmes, le nageur chinois Sun Yang (1m98) a un SWOLF SCORE de 59, là ou Janet Evans (1m68) a un SWOLF SCORE DE 79, soit 20 points d'écart (alors que leur différence de temps sur 50m est de 4'' pour ce calcul) ! On ne peut dès lors en conclure que Sun est bien meilleur nageur techniquement que Janet car ce serait faire abstraction de leur énorme différence de gabarit et de style. Et heureusement la natation reste un sport où la diversité de style a encore sa place !

Il ne faudra pas non plus chercher à comparer des SWOLF SCORE en eaux libres avec des SWOLF SCORE en piscine du fait de la différence de styles. En eaux libres, l'amplitude est généralement plus faible qu'en piscine pour de multiples raisons (style de nage différent, battement moins puissant...).



mercredi 27 juin 2012

"Nager en eau libre", le DVD de Loic Branda



J'ai eu le plaisir de pouvoir visionner le DVD de Loic Branda sur la nage en eau libre.

Loic Branda est l'un des meilleurs nageurs français d'eau libre.

Le DVD est bien fait avec une belle qualité de prises de vues. Evidemment, pouvoir observer la nage de Loic Branda est un plaisir et il faut se féliciter des champions qui font ainsi bénéficier les amateurs de leur savoir et leur expérience. C'est assez rare pour être souligné.

Le DVD aborde de manière synthétique les thèmes suivants:


vendredi 2 décembre 2011

Structurer son entrainement pour la longue distance





Voici quelques conseils pour mieux structurer son entraînement pour des épreuves d'endurance (1500m, 3800m...) tirées d'une interview initialement publiée sur le site swimsmooth.com de l'entraîneur Ernest (Ernie) W. Maglischo, une référence en la matière.

L'entraînement pourra tourner autour de 3 types de séances:

- la première intégrera des intervalles longs ou des périodes de repos très courtes entre chaque intervalle pour une distance totale d'environ 3000 à 4000 mètres. Elles doivent être nagées à une vitesse inférieure au seuil (Maglischo prend comme référence un rythme cardiaque inférieure à 150 donc un travail en aérobie avec une sensation d'effort réduite). Ce type de séance doit représenter 50% du kilométrage hebdomadaire total ;

vendredi 20 mai 2011

Entraînement: dura lex, sed lex (*)




....ou comment construire une routine d'entraînement un tantinet efficace quand on s'entraîne pas en club mais aux horaires publics !


Si vous nagez en clubs ou bien si vous êtes un féru d'entraînement, vous avez très probablement déjà un bon programme auquel vous pouvez vous tenir. 


Si d'ailleurs vous cherchez un vrai plan d'entraînement, je vous conseille de regarder sur d'autres sites et surtout d'en parler à un entraîneur: pour qu'un plan d'entraînement ait en effet de la valeur, il faut qu'il soit vraiment adapté aux caractéristiques personnelles du nageur, à ses objectifs et à son stade de développement.

Maintenant, si vous faites partie du commun des nageurs (mais vous êtes quand même assez bon nageur ou nageuse) et que vous devez vous accommoder des plages d'ouverture au public pour nager, c'est souvent difficile de rendre ses séances efficaces, sans même parler de suivre un plan d'entraînement (car les conseils qui suivent ne sauraient être cela). 


Voici donc quelques idées pour des nageurs expérimentés, en bonne condition physique générale, pour organiser 3 séances par semaine (d'une durée de moins d'une heure chaque environ) qui devraient leur permettre de maintenir leur niveau, et même de progresser, tout en restant très simple, facile à mémoriser, en évitant la monotonie puisque chaque séance est très différente et peut s'adapter - à peu près -  à une piscine même bien remplie: ces séances s'articulent autour des trois "piliers de la sagesse" (qu'on retrouve dans quasiment tous les plans d'entraînement : c'est à dire endurance fondamentale, fractionné long et fractionné court). 


Pour mieux s'en souvenir, j'ai donné un petit surnom à chaque séance: tango, salsa et techno, qui parlent pour eux-mêmes.


1ère séance:  nom de code : "Tango"


Cette séance sera consacrée à nager longtemps à basse intensité ; c'est le moment de développer son endurance. Maître mot: endurance sans intensité et travail technique. "Plus c'est long, plus c'est bon!". 


Par exemple; série de 600m à volonté avec très peu de repos entre chaque (éventuellement avec pull-buoy ou plaquettes pour une ou deux séries de 600m). Le premier 600m sera évidemment très calme pour servir d'échauffement.


Si la piscine est pleine, ne vous forcez pas à sortir de votre rythme en voulant doubler à tout prix. Attendez quelques instants que le nageur devant vous s'éloigne et reprenez votre rythme de "sénateur". 

2de séance: nom de code : "Salsa" 


Cette séance est celle du rythme, du tempo !


Elle sera consacrée à du fractionné long avec changements de rythme; le principe est simple : au fur et à mesure de la séance, on réduit les distances en augmentant la vitesse.


Une telle séance peut par exemple être construite comme cela: 1000m crawl (qui serviront sur les premiers 500m d'échauffement) puis 400m crawl puis 200 crawl puis 100m crawl avec un court repos entre chaque. 


Si vous avez plus de temps, vous pouvez intercaler entre le 1000m et le 400m, un 600m ; l'objectif est de nager un peu plus vite à chaque série (ce qui semble facile sur le papier  puisque chaque série est plus courte que la précédente) ; il faut arriver à tenir toutes les séries sans s'épuiser, ni ralentir pendant la série et en gardant une durée égale de repos entre chaque série. Tout au long de la séance, il faut penser à l'amplitude en évitant de juste accroître votre fréquence de bras et de perdre en amplitude. L'idée est bien de nager de plus en plus vite (pas uniquement avec plus de fréquence). 


L’écueil à éviter: accélérer trop vite. C'est facile à détecter car on ne sera plus alors en mesure de tenir la série suivante complète avec une vitesse plus élevée que la précédente. Cela demande donc une bonne maîtrise des allures et de l'intensité de l'effort. 


Cette séance est plutôt à réaliser le jour où la piscine est la moins bondée pour pouvoir bien maintenir ses allures (sans trop d'à-coups).

3ème séance: nom de code : "Techno" 


C'est la séance ludique "adrénaline".


Au début, bien insister sur la phase d'échauffement: on peut faire des éducatifs, mélanger les nages, travailler sa technique, le battement de jambes, etc.... 


Après cet échauffement assez long (minimum 1000m/1500m), faire du fractionné court et rapide explosif (!) avec de longues phases de récupération. Par exemple, 20 ou 30x25m avec 25m de repos entre chaque. Faites cela avec un  chrono : faites le bipper (ou caler vous sur l'horloge) sur le temps visé au 25m et nager l'autre 25m pour ne repartir qu'une fois 2 bips passés: ex: 25m en 20s, 25m en 40s très lent.  Là encore, il faut arriver à garder la même allure voire pouvoir accélérer au fur et à mesure des séries; il ne s'agit de s'épuiser dès les premiers 25m.


Si la piscine est moins pleine, vous pouvez aussi faire des séries plus longues (type 50m sur le même principe). Plus l'intensité est élevée, plus le temps de repos sera long. L'intérêt de série de 25m est qu'elles fatiguent peu l'organisme car elles sont très courtes (par définition). 


Pour les nageurs vétérans, il est vraiment intéressant de chercher à toujours garder plusieurs séries courtes, explosives et intenses (avec beaucoup de récupération entre chaque) pour bien stimuler l'organisme et contrer un peu les effets d'un entraînement trop tourné vers l'endurance (tendance naturelle des nageurs plus seniors).


Bonne nage!

(*) "La loi est dure mais c'est la loi !" (...de l'entraînement)




vendredi 12 février 2010

FAQ (4): Quelle fréquence de bras ?



Voici les fréquences de bras relevées parmi les pros:

Ce post est désormais disponible dans le livre "Le Plaisir de Nager"



dimanche 31 janvier 2010

mardi 5 janvier 2010

Kaizen Swimming

Ce post est désormais disponible dans le livre "Le Guide du Crawl Moderne"





jeudi 24 décembre 2009

mercredi 23 décembre 2009

jeudi 10 décembre 2009

Faut-il nager toujours au même rythme ?


La natation a été sans doute l'un des premiers sports où les entraîneurs ont compris l'importance de varier le contenu des séances d'entraînement pour arriver à des progrès plus rapides.

Ce post est désormais disponible dans le livre "Le Guide du Crawl Moderne"